VOD gratuit : « Collection Lockdown, by Swiss filmmakers », par la RTS

De nos collègues au RTS :

« Trois producteurs suisses ont voulu permettre à 80 cinéastes d’offrir leur vision de la pandémie et du confinement qui l’accompagne. 33 projets mêlant divers genres, du documentaire à l’essai en passant par la fiction, ont été sélectionnés et réalisés avec les moyens du bord. »

Une émission en 10 chapitres en ligne, avec des contributions des réalisateurs différents, 10 courts-métrages de : Stéphane Goël, Daniel Wyss, Léo Maillard, Frédéric Gonseth & Catherine Azad, Fisnik Maxhuni, Juliana Fanjul, Séverine Barde, Germinal Roaux, Séverine Cornamusaz et Frédéric Choffat

Voir ici pour tous les courts :

https://www.rts.ch/docs/11321069-collection-lockdown-by-swiss-filmmakers.html

 

Nos recommendations :

Business as usual – Daniel Wyss, 7’33”

https://www.rts.ch/docs/11321069-collection-lockdown-by-swiss-filmmakers.html#chap02

Des lieux liés à la consommation et à la vie d’avant le confinement et qui sont totalement vides: des autoroutes, le hall des départs de l’aéroport, des parkings, des affiches publicitaires, une place de jeux, un musée… Un gérant de fortune parle de son métier, des opportunités qu’offre cette crise en matière d’investissements et de l’avenir en général.

 

Yunfa – Juliana Fanjul, 5’23”

https://www.rts.ch/docs/11321069-collection-lockdown-by-swiss-filmmakers.html#chap06

Avril, 2020. Les cinémas du monde entier sont fermés. Réalisatrice de films et très inquiète par cette situation, je réalise un hommage à mon cher Maestro Puri, récemment disparu, que je connais de l’école de cinéma. Un récit qui lie une rencontre et la fermeture des cinémas, métaphore de la pandémie.

 

Confiné dehors – Frédéric Choffat, 8’18”

Parce que : tous nos vies valent plus que leurs crédits !
Longue vie au bouchon et l’amitié !

https://www.rts.ch/docs/11321069-collection-lockdown-by-swiss-filmmakers.html#chap10

Genève, avril 2020. Tandis que quelques téméraires se risquent à faire la queue devant les supermarchés, les habitants de la ville se replient dans leur maison, laissant les rues désertes à celles et ceux qui se retrouvent confinés dehors. Dans l’attente d’un Godot qui tarde à venir.